Karaoké au collège .

Soirée karaoké du collège le 16 février, à la veille des vacances.

Ambiance festive pour les internes du collège qui ont pu profiter d'une parenthèse musicale karaoké accompagnée d'une collation avant de se coucher à l'heure habituelle, soit 21h30.

Ce fut un moment de détente bien mérité avant de marquer une pause.

Bonnes vacances à tous les élèves.

ANTIGONE

Vendredi 3 février dernier, la classe de 4ème et quelques élèves de la classe de 3ème se sont rendus au centre culturel de Langeac voir le Théâtre de l'Imprévu donner une représentation de la pièce Antigone de Jean Anouilh. 

Antigone est une tragédie grecque de Sophocle écrite au cinquième siècle avant Jésus-Christ. 

Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Etéocle et Polynice, se sont entre-tués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste, est le nouveau roi. Il décide à ce titre de n'offrir de sépulture qu'à Étéocle et non à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il avertit par un édit que quiconque osera enterrer le corps du renégat sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice est abandonné à la chaleur et aux charognards. Seule Antigone refuse cette situation. Malgré l'interdiction de son oncle, elle se rend plusieurs fois auprès du corps de son frère et tente de le recouvrir avec de la terre...

C'était pour eux l'occasion de voir une pièce étudiée en cours, pièce qu'ils ont beaucoup appréciée.
Un grand merci à Madame Laurent d'avoir permis cette sortie culturelle, montrant ainsi que l'apprentissage ne se réduit pas seulement à une salle de classe.

Intervention de trois diététiciennes dans la classe de 5ème

Le mardi 7 février, une diététicienne est intervenue en classe de 5ème. Au travers de quatre ateliers, elle a donné aux élèves de nombreuses informations relatives au "bien-manger" et à l'équilibre alimentaire. 

Elle leur a ainsi montré les équivalences en morceaux de sucre de certains produits tels que les sodas ou les barres énergétiques. 

Elle leur a également parlé du bienfait des productions locales - que ce soit pour leur santé ou pour l'environnement -, du recyclage, de la notion de plaisir et de la nécessité d'avoir une activité physique régulière.

Elle leur a présenté une pyramide alimentaire sur laquelle les aliments se situent en fonction de leur importance pour l'organisme (eau et boissons non sucrées en bas, produits gras et/ou sucrés en haut).

Enfin, un petit travail leur a été donné : un menu à rééquilibrer grâce à leurs connaissances et à ce qu'ils ont appris durant cette séance.

Les élèves se sont montrés ouverts et réceptifs, mais quand on sait que le surpoids et l'obésité, conséquences de la malbouffe, touchent près d'un français sur deux et qu'ils sont responsables de maladies comme le cancer, nous espérons que cette intervention saura leur faire prendre conscience qu'une bonne alimentation tout au long de leur vie est primordiale.

Visite du musée de la Bête du Gévaudan par la classe de 6ème

A l'occasion du 250ème anniversaire de la mort de la Bête du Gévaudan (tuée par Jean Chastel le 19 juin 1767 au lieu-dit "La Sogne d'Auvers"), la classe de 6ème est allée visiter le musée de la Bête du Gévaudan situé à Saugues. Un parcours de 22 scènes retrace l'histoire de cette bête qui a dévoré plus de 100 personnes.

La Bête du Gévaudan est un animal à l'origine d'une série d'attaques contre des humains survenues entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, le plus souvent mortelles, entre 88 à 124 recensées selon les sources, eurent lieu principalement dans le nord de l'ancien pays du Gévaudan, région d'élevage. Quelques cas ont été signalés dans le sud de l'Auvergne, et dans le nord du Vivarais et du Rouergue.​

La « Bête du Gévaudan » dépassa rapidement le stade du fait divers, au point de mobiliser de nombreuses troupes royales et de donner naissance à toutes sortes de rumeurs, tant sur la nature de cette « bête » – vue tour à tour comme un loup, un animal exotique et même un loup-garou, voire un tueur en série à une époque plus récente — que sur les raisons qui la poussaient à s'attaquer aux populations — du châtiment divin à la théorie de l'animal dressé pour tuer. Alors qu'une centaine d'attaques équivalentes se sont produites au cours de l'histoire de France dont toutes les régions sont peuplés par environ 20 000 loups à cette époque, ce drame intervient opportunément pour la presse en mal de ventes après la guerre de Sept Ans : le Courrier d'Avignon local puis La Gazette de France nationale et les gazettes internationales voient l'occasion de s'emparer de cette affaire pour en faire un véritable feuilleton, publiant des centaines d'articles sur le sujet en quelques mois.

De 1764 à 1767, deux animaux (l’un identifié comme un gros loup, l'autre comme un canidé s'apparentant au loup) furent abattus. Le gros loup fut abattu par François Antoine, porte-arquebuse du roi de France, en septembre 1765, sur le domaine de l'abbaye royale des Chazes. À partir de cette date, les journaux et la cour se désintéressèrent du Gévaudan, bien que d'autres morts attribuées à la Bête aient été déplorées ultérieurement. Le second animal fut abattu par Jean Chastel, enfant du pays domicilié à La Besseyre-Saint-Mary, le 19 juin 1767. Selon la tradition, l'animal tué par Chastel était bien la Bête du Gévaudan car, passé cette date, plus aucune mort ne lui fut attribuée.

 (source : http://www.musee-bete-gevaudan.com)

Noël avec un peu de retard... Arrivée des VTT !

Des VTT tout neufs viennent d'arriver au collège. Ils seront utilisés en éducation physique et sportive avec Monsieur Tardy et serviront également dans le cadre d'activités et de sorties.
Prenons-en soin !

ROGUE ONE : A STAR WARS STORY

Lundi 30 janvier, les élèves de l'internat sont allés visionner "Rogue One : A Star Wars Story", film de science-fiction américain de type space-opera réalisé par Gareth Edwards et sorti en 2016.

Il s'agit du premier des trois films dérivés de Star Wars, dont le deuxième volet est prévu pour 2018 et le troisième pour 2020. Ils sont regroupés sous le sigle, A Star Wars Story.

Rogue One est un film de guerre dont l'histoire se déroule quelques minutes avant les événements de Star Wars, épisode IV. Alors que l'Etoile de la Mort - l'arme absolue de l'Empire Galactique destinée à inspirer la peur aux systèmes soumis - est en construction, l''Alliance rebelle, qui a appris l'existence de cette station de combat, va tout faire pour s'emparer des plans secrets et tenter d'y trouver une faille.

D'ores et déjà adulé par les fans qui y voient un juste retour aux sources après un Star Wars VII critiqué pour son manque d'originalité, cet épisode n'a guère été apprécié par les élèves. Rappelons quand même que la série fête ses 40 ans, difficile donc de générer chez ces jeunes le sentiment de nostalgie que peuvent éprouver les fans de la première heure, et cela malgré un retour et une mise en scène de Dark Vador (après onze ans d'absence) plutôt réussis, surtout lors de l'épilogue.

A nous maintenant de leur faire connaître la première trilogie, aujourd'hui culte, afin de leur faire comprendre que si de nos jours le space opera est un genre cinématographique vu et revu maintes fois, il était à ses débuts dans les années 1960 et 1970. Et en 1977, c'était bien mieux, mais si mon avis demeure subjectif.

PONY GAMES UNSS

Mardi 31 janvier dernier se sont déroulés au centre équestre d'Yssingeaux les PONY GAMES où se sont rendues nos élèves de la section équitation.
Une quinzaine d'établissements de la Haute-Loire y étaient représentés.
Durant cette journée, les cavalières ont participé à deux jeux, le Pony Game et l'Equifun, chacun étant composé de différentes épreuves.
Ainsi, le Pony Game en avait quatre dont :

_ le "Carton", épreuve qui consiste à prendre un carton sur un piquet et le déposer dans un seau.
_ les "Deux Bouteilles", épreuve qui consiste à poser et récupérer des bouteilles sur un parcours de slalom.
_ le "Petit Président", épreuve qui consiste à enfiler sur un piquet des lettres pour reformer le mot "poney".

Quant à l'Equifun, il se composait de parcours avec sauts, prises d'objets et slaloms.

Nos cavalières n'ont pas participé à ces jeux sur les chevaux, mais se sont formées pour être de "jeunes officielles" en assumant plusieurs rôles liés à l'activité : juger, arbitrer, aider, observer, apprécier, chronométrer,  appliquer des pénalités, etc.

La journée s'est terminée par la remise des médailles aux meilleures.

Le mardi 7 février, elles y retourneront mais cette fois-ci en tant que cavalières pour participer aux mêmes épreuves face à d'autres équipes.

Bon courage et bonne chance !